중남미 모데르니스모에 끼친 프랑스댄디즘의 영향 (L'influence du dandysme français sur le modernismo de l'Amérique latine)

서지정보

· 발행기관 : 한국프랑스학회
· 수록지 정보 : 한국프랑스학논집 / 99권 / 309 ~ 332페이지
· 저자명 : 조은라

초록

Un dandy indique un homme qui place l’importance particulière sur l’apparence physique, le langage raffiné, l’aisance dans son goût, et l’affectation de l’esprit et de l’impertinence. Le dandysme, courant de mode et de société, est commencé par George Bryan ‘Beau’ Brummell en Angleterre en fin du XVIIIe siècle. Ce culte de soi s’est développé en France comme un véritable phénomène artistique grâce aux dandys littéraires, particulièrement comme Barbey d’Aurevilly et Charles Baudelaire. On remarque sur ce point le mouvement du modernismo apparu dans les pays sud-américains en fin du XIXe siècle. Étant donné que celui-ci est influencé par le romantisme, le Parnasse, le symbolisme français et la sensibilité de la modernité de la deuxième moitié du XIXe siècle, il n’est pas difficile d’évoquer la corrélation potentielle entre le modernismo et la littérature française. Et ce fait concerne également l’intervention du dandysme car le modernismo est né comme une réaction artistique contre l’arrivée du capitalisme, ce qui suppose son identité esthétique. On peut donc ici considérer le modernismo non pas comme le mouvement littéraire mais plutôt comme la mode ou la forme artistique.
Pour vérifier l’hypothèse fondée sur la correlation esthétique entre le dandysme et le modernismo, quelques nouvelles des ‘modernistas’ ont été choisies et analysées. Ce qui est le plus remarquable dans leur attitude envers l’art, c’est qu’ils soulignent comme les dandys sa suprématie et son côté artificiel. En deuxième, l’esthétique de l’art pour l’art soutenue par les dandys s’appuient sur la lutte et il en va de même pour les ‘modernistas’. En fait, ceux-ci ont commencé leur mouvement contre l’ennui né de la société bourgeoise et ont fait front à la littérature traditionnelle en rêvant de la fuite de la réalité, ce qui résulte leur préférence pour la musicalité et l’effet des couleurs. C’est de leur côté une manière de vivre esthétiquement tandis que les dandys ont essayé de vivre poétiquement.
On ne peut pourtant pas affirmer l’afflux direct du dandysme dans l’Amérique du Sud ou son intervention possible passée par l’Espagne, ce qui est également ambigu. Mais le modernismo est une forme esthétiques, germée et fleurie dans l’Amérique latine. C’est pour cela que le modernista est un dandy latino-américain qui peut être défini à la fois comme le héros se révélant à l’époque décadente et l’artisant manifestant l’exellence dans sa présence et ses actes. Et il devrait être différé du dandy de l’époque de Brummell, considéré comme un être appararent et voluptueux car il est en quelque sorte le dandy au sens authentique, c’est-à-dire le dandy français.

영어초록

Un dandy indique un homme qui place l’importance particulière sur l’apparence physique, le langage raffiné, l’aisance dans son goût, et l’affectation de l’esprit et de l’impertinence. Le dandysme, courant de mode et de société, est commencé par George Bryan ‘Beau’ Brummell en Angleterre en fin du XVIIIe siècle. Ce culte de soi s’est développé en France comme un véritable phénomène artistique grâce aux dandys littéraires, particulièrement comme Barbey d’Aurevilly et Charles Baudelaire. On remarque sur ce point le mouvement du modernismo apparu dans les pays sud-américains en fin du XIXe siècle. Étant donné que celui-ci est influencé par le romantisme, le Parnasse, le symbolisme français et la sensibilité de la modernité de la deuxième moitié du XIXe siècle, il n’est pas difficile d’évoquer la corrélation potentielle entre le modernismo et la littérature française. Et ce fait concerne également l’intervention du dandysme car le modernismo est né comme une réaction artistique contre l’arrivée du capitalisme, ce qui suppose son identité esthétique. On peut donc ici considérer le modernismo non pas comme le mouvement littéraire mais plutôt comme la mode ou la forme artistique.
Pour vérifier l’hypothèse fondée sur la correlation esthétique entre le dandysme et le modernismo, quelques nouvelles des ‘modernistas’ ont été choisies et analysées. Ce qui est le plus remarquable dans leur attitude envers l’art, c’est qu’ils soulignent comme les dandys sa suprématie et son côté artificiel. En deuxième, l’esthétique de l’art pour l’art soutenue par les dandys s’appuient sur la lutte et il en va de même pour les ‘modernistas’. En fait, ceux-ci ont commencé leur mouvement contre l’ennui né de la société bourgeoise et ont fait front à la littérature traditionnelle en rêvant de la fuite de la réalité, ce qui résulte leur préférence pour la musicalité et l’effet des couleurs. C’est de leur côté une manière de vivre esthétiquement tandis que les dandys ont essayé de vivre poétiquement.
On ne peut pourtant pas affirmer l’afflux direct du dandysme dans l’Amérique du Sud ou son intervention possible passée par l’Espagne, ce qui est également ambigu. Mais le modernismo est une forme esthétiques, germée et fleurie dans l’Amérique latine. C’est pour cela que le modernista est un dandy latino-américain qui peut être défini à la fois comme le héros se révélant à l’époque décadente et l’artisant manifestant l’exellence dans sa présence et ses actes. Et il devrait être différé du dandy de l’époque de Brummell, considéré comme un être appararent et voluptueux car il est en quelque sorte le dandy au sens authentique, c’est-à-dire le dandy français.

참고자료

· 없음