벨 에포크Belle Époque의 춤－ 춤 언어 탐구의 시작 (La danse de la Belle Époque : le commencement de la recherche du langage chorégraphique)

서지정보

· 발행기관 : 서울대학교 불어문화권연구소
· 수록지 정보 : 불어문화권연구 / 23호 / 125 ~ 161페이지
· 저자명 : 도윤정

초록

La ‘Belle Époque’, approximativement de 1890-1914, est une période du changement total de la société vers le monde moderne.
Comme dans le domaine économique, politique et social, dans le domaine culturel et artistique, la modernisation s’est déroulée. Au 19e siècle qui est commencé par le romantisme, faisant reconnaître lentement l’autonomie et la contemporalité des arts, chaque genre faisait des cherches sur les particularités de la manière d’expression propre à son genre. Ces tâtonnements se concentrent à la Belle Époque et en même temps, les échanges entre les genres d’art se généralisent. Cet article a pour but d’envisager les changements introduits dans le monde de la danse par Isadora Duncan et les Ballets Russes en les situant dans cet environnement de l’époque.
Par là, nous espérons obtenir ce que signifient les innovations tantées par ces deux novateurs, qui s’éclairent en général séparément, Duncan, dans la danse contemporaine et les Ballets Russes, dans le ballet moderne, respectivement.
Après le ballet romantique qui est la période glorieuse, le ballet français était dans le creux de la vague. Le premier essai d’y échapper était la danse spectaculaire importée de la Grande-Bretagne et de l’Italie. Son résultat était nul car cette sorte de danse ne s’est pas libérée de la tradition dans laquelle la danse est comprise comme une simple attraction ou un moyen de la narration.
Loïe Fuller, elle, a tenté une autre voie vers la danse qui consiste à quitter l’histoire et à faire imaginer à travers les mouvements et ses figures demi-abstraites constituées du corps de la danseuse, ses costumes et les lumières. Isadora Duncan va encore plus loin vers la source du langage chorégraphique. Grâce à la découverte de l’énergie du corps à l’intérieur de soi-même, elle a trouvé que la danse n’est que la réponse de l’âme du danseur envers son environnement, surtout la musique. Avec cette novelle conception de danse, son exploration dans d’autres genres d’art et pensées philosophiques a pu faire reconnaître la danse comme un genre d’art par elle-même.
Les Ballets Russes, eux, renouvellent la danse plus modérément.
Michel Fokine, leur premier chorégraphe, commence par la réécriture des oeuvres romantiques ou classaiques en réduisant l’importance de la narration et de la décoration ainsi que la dimension du spectacle.
Vaslav Nijinski, excellent danseur et deuxième chrégraphe de cette compagnie, introduit dans la danse traditionnelle une rupture plus bouleversante. Par les mouvements radicalement échapés à la grammaire de la danse traditionnelle et les manières d’expression plus poétiques, c’est-à-dire, plus condensées et allusives, ses <L’après-midi d’un Faune> et <Le sacre du printemeps> nous montrent que la danse peut être un laboratoire de l’exploration artistique.
Après la Belle Époque, les Ballets Russes poursuivent cette tendance qui fait la scène de la danse un champs de recherches de divers genres d'art. Le surréalisme, le cubisme, l’expressionnisme tout à tour rencontrent les spectateurs de la danse. Ce développement du caractère artistique de la danse est fondé sur les danses de la Belle Époque.

영어초록

La ‘Belle Époque’, approximativement de 1890-1914, est une période du changement total de la société vers le monde moderne.
Comme dans le domaine économique, politique et social, dans le domaine culturel et artistique, la modernisation s’est déroulée. Au 19e siècle qui est commencé par le romantisme, faisant reconnaître lentement l’autonomie et la contemporalité des arts, chaque genre faisait des cherches sur les particularités de la manière d’expression propre à son genre. Ces tâtonnements se concentrent à la Belle Époque et en même temps, les échanges entre les genres d’art se généralisent. Cet article a pour but d’envisager les changements introduits dans le monde de la danse par Isadora Duncan et les Ballets Russes en les situant dans cet environnement de l’époque.
Par là, nous espérons obtenir ce que signifient les innovations tantées par ces deux novateurs, qui s’éclairent en général séparément, Duncan, dans la danse contemporaine et les Ballets Russes, dans le ballet moderne, respectivement.
Après le ballet romantique qui est la période glorieuse, le ballet français était dans le creux de la vague. Le premier essai d’y échapper était la danse spectaculaire importée de la Grande-Bretagne et de l’Italie. Son résultat était nul car cette sorte de danse ne s’est pas libérée de la tradition dans laquelle la danse est comprise comme une simple attraction ou un moyen de la narration.
Loïe Fuller, elle, a tenté une autre voie vers la danse qui consiste à quitter l’histoire et à faire imaginer à travers les mouvements et ses figures demi-abstraites constituées du corps de la danseuse, ses costumes et les lumières. Isadora Duncan va encore plus loin vers la source du langage chorégraphique. Grâce à la découverte de l’énergie du corps à l’intérieur de soi-même, elle a trouvé que la danse n’est que la réponse de l’âme du danseur envers son environnement, surtout la musique. Avec cette novelle conception de danse, son exploration dans d’autres genres d’art et pensées philosophiques a pu faire reconnaître la danse comme un genre d’art par elle-même.
Les Ballets Russes, eux, renouvellent la danse plus modérément.
Michel Fokine, leur premier chorégraphe, commence par la réécriture des oeuvres romantiques ou classaiques en réduisant l’importance de la narration et de la décoration ainsi que la dimension du spectacle.
Vaslav Nijinski, excellent danseur et deuxième chrégraphe de cette compagnie, introduit dans la danse traditionnelle une rupture plus bouleversante. Par les mouvements radicalement échapés à la grammaire de la danse traditionnelle et les manières d’expression plus poétiques, c’est-à-dire, plus condensées et allusives, ses <L’après-midi d’un Faune> et <Le sacre du printemeps> nous montrent que la danse peut être un laboratoire de l’exploration artistique.
Après la Belle Époque, les Ballets Russes poursuivent cette tendance qui fait la scène de la danse un champs de recherches de divers genres d'art. Le surréalisme, le cubisme, l’expressionnisme tout à tour rencontrent les spectateurs de la danse. Ce développement du caractère artistique de la danse est fondé sur les danses de la Belle Époque.

참고자료

· 없음