원효, 레비-스트로스, 그리고 데리다 (Wonhyo, Lévi-Strauss et Derrida)

서지정보

· 발행기관 : 한국기호학회
· 수록지 정보 : 기호학 연구 / 24권 / 9 ~ 27페이지
· 저자명 : 김형효

초록

En attendant, l'humanité a considéré en interpretant son histoire et sa culture que toutes les choses pouvait être réduites respectivement en leurs seuls concepts. Elles ont vécu pendant ce temps, trempées par le conceptualisme qui veut dire la pensée que la chose doit avoir neécessairement son sens; par conséquence il n'y a aucun non-sens au monde à partir de Dieu jusqu'au la plus ignoble chose terrestre. Cette pareille pensée vient de l'idée fictive que le Dieu qui n'existe pas ait créé les choses. Pourtant cette idée a une place absolument dominante, si bien que l'idée directrice que le monde ait dû être dirigé par le supérieur du sens ne peut accunement accepter le non-sens, ce qui est devenu le rationalisme logique qui a dominé la mentalité humaine et historique. La création divine du monde et la production humaine par la raison ont été coagulées depuis lontemps; cette coagulation a fait éloigner la mentalité qui veut percevoir le monde tel qu'il est.
Le structuralisme de Lévi-Strauss abhorrait très foncièrement que la raison humaine qui se forme à l'instar de Dieu insiste sa mentalité alternative isolant le blanc d'avec le noir. Cette pateille mentalité consiste à choisir l'un de deux termes par l'exemple : le bien au mal, la lumière au noir, le vrai au faux, l'être au néant. Le structuralisme n'adopte pas cette manière de sélectionner l'un d'entre deux; il les prends comme deux faces d'une monnaie.
Cette duplicité qui se figure comme la cime de la montagne était divisée en deux côtés devient beaucoup plus raffinée, lorsque l'on s'avance de l'oppositin pertinente à la différance au mot derridien de ce mot. Le sens de la différance s'accordera au tel sens que Wonhyo souvent a dit sa pensée de la différence pertinente d'une façon ni monistique ni dualistique. L'univers où nous existons(sensons) n'est pas un amas de concepts independants, mais forme un nexus de relations intertextuels. Tous les faits de cet univers ne consiste pas dans les constitutifs isolés, mais fait une grande connexion des unes aux autres comme autour des ondes se nouent de differents ondes. Il serait bien facile d'imaginer que la différance soit similaire au mode ontologique de l'être-avec.
Si le structuralisme lévi-straussien fait voir le filet correlatif comme une loi d'inter-dependence, la philosophie de différance de Derrida veut dire qu'il n'y ait rien au monde qui ait l'identité de soi. Nous pouvons dire que la pensée sauvage qui est égal à la différence pertinente, aussi bien que la philosophie de différance ne prend point la conscience finale et morale au premier rang. Leur pensée parle seulement avec pudeur comment le fait de la nature elle-même se compose. Levi-Strauss et Derrida ne sont plus selectionistes moraux, mais ils font n'apercevoir que la relation joviale en vivant socialement. La justice n'est pas la valeur vers laquelle le structuralisme et le deconstructionisme s'orientent intentionellement, eux ne nous parle que comment l'on peut vivre heureusement et jovialement, ce qui enseigne le savoir vivre artistiquement dans l'ambiance de bie-être ontologique. Tandis que le savoir-vivre juridiquement ne s'efforce que de maintenir la froideur pour le jugement de la justice en dualisant, le bien-être artistique et ontologique est égal à la joie en participant de tous à tous par le moyen de contempler.
Wonhyo ne voulant pas choisir le chemin pour le bien moral, et de plus ne désirant pas avoir de terrestres féodaux, il veut deux choses qui rendent les hommes heureux, c'est-a-dire la vie conjugale et le coeur sans aucun empêchement intérieur et extérieur. Ce désir ne serait pas rien d'autres qu'il voulait chanter avec gaîté des chansons populaires en rôdant devant des cafés. Il serait le premier sémiotique du point de vue théorique et pratique durant l'histoire coréenne. Etant donné que toutes les choses ne contiennent pas l'ipséité de soi, ce serait non-sensé et ridicule d'insister la propriété de chaque chose. Puisque le coeur moral s'occupe d'insister la legitimité de soi, il ne s'occupe que de se rendre juste dans la vie sociale. Le coeur artistique vient de se vider cordialement et mentalement. Structuralisme et deconstructuralisme ne visent finalement qu'à décomposer l'égoïté.

영어초록

En attendant, l'humanité a considéré en interpretant son histoire et sa culture que toutes les choses pouvait être réduites respectivement en leurs seuls concepts. Elles ont vécu pendant ce temps, trempées par le conceptualisme qui veut dire la pensée que la chose doit avoir neécessairement son sens; par conséquence il n'y a aucun non-sens au monde à partir de Dieu jusqu'au la plus ignoble chose terrestre. Cette pareille pensée vient de l'idée fictive que le Dieu qui n'existe pas ait créé les choses. Pourtant cette idée a une place absolument dominante, si bien que l'idée directrice que le monde ait dû être dirigé par le supérieur du sens ne peut accunement accepter le non-sens, ce qui est devenu le rationalisme logique qui a dominé la mentalité humaine et historique. La création divine du monde et la production humaine par la raison ont été coagulées depuis lontemps; cette coagulation a fait éloigner la mentalité qui veut percevoir le monde tel qu'il est.
Le structuralisme de Lévi-Strauss abhorrait très foncièrement que la raison humaine qui se forme à l'instar de Dieu insiste sa mentalité alternative isolant le blanc d'avec le noir. Cette pateille mentalité consiste à choisir l'un de deux termes par l'exemple : le bien au mal, la lumière au noir, le vrai au faux, l'être au néant. Le structuralisme n'adopte pas cette manière de sélectionner l'un d'entre deux; il les prends comme deux faces d'une monnaie.
Cette duplicité qui se figure comme la cime de la montagne était divisée en deux côtés devient beaucoup plus raffinée, lorsque l'on s'avance de l'oppositin pertinente à la différance au mot derridien de ce mot. Le sens de la différance s'accordera au tel sens que Wonhyo souvent a dit sa pensée de la différence pertinente d'une façon ni monistique ni dualistique. L'univers où nous existons(sensons) n'est pas un amas de concepts independants, mais forme un nexus de relations intertextuels. Tous les faits de cet univers ne consiste pas dans les constitutifs isolés, mais fait une grande connexion des unes aux autres comme autour des ondes se nouent de differents ondes. Il serait bien facile d'imaginer que la différance soit similaire au mode ontologique de l'être-avec.
Si le structuralisme lévi-straussien fait voir le filet correlatif comme une loi d'inter-dependence, la philosophie de différance de Derrida veut dire qu'il n'y ait rien au monde qui ait l'identité de soi. Nous pouvons dire que la pensée sauvage qui est égal à la différence pertinente, aussi bien que la philosophie de différance ne prend point la conscience finale et morale au premier rang. Leur pensée parle seulement avec pudeur comment le fait de la nature elle-même se compose. Levi-Strauss et Derrida ne sont plus selectionistes moraux, mais ils font n'apercevoir que la relation joviale en vivant socialement. La justice n'est pas la valeur vers laquelle le structuralisme et le deconstructionisme s'orientent intentionellement, eux ne nous parle que comment l'on peut vivre heureusement et jovialement, ce qui enseigne le savoir vivre artistiquement dans l'ambiance de bie-être ontologique. Tandis que le savoir-vivre juridiquement ne s'efforce que de maintenir la froideur pour le jugement de la justice en dualisant, le bien-être artistique et ontologique est égal à la joie en participant de tous à tous par le moyen de contempler.
Wonhyo ne voulant pas choisir le chemin pour le bien moral, et de plus ne désirant pas avoir de terrestres féodaux, il veut deux choses qui rendent les hommes heureux, c'est-a-dire la vie conjugale et le coeur sans aucun empêchement intérieur et extérieur. Ce désir ne serait pas rien d'autres qu'il voulait chanter avec gaîté des chansons populaires en rôdant devant des cafés. Il serait le premier sémiotique du point de vue théorique et pratique durant l'histoire coréenne. Etant donné que toutes les choses ne contiennent pas l'ipséité de soi, ce serait non-sensé et ridicule d'insister la propriété de chaque chose. Puisque le coeur moral s'occupe d'insister la legitimité de soi, il ne s'occupe que de se rendre juste dans la vie sociale. Le coeur artistique vient de se vider cordialement et mentalement. Structuralisme et deconstructuralisme ne visent finalement qu'à décomposer l'égoïté.

참고자료

· 없음