Les locutions idiomatiques ou le talon d’Achille des traducteurs?
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- 최초 등록일
- 2016.04.02
- 최종 저작일
- 2014.12
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서지정보
ㆍ발행기관 : 서울대학교 외국어교육연구소
ㆍ수록지정보 : 외국어교육연구 / 17권
ㆍ저자명 : Aïssa MESSAOUDI
영어 초록
Les locutions idiomatiques du français sont l’une des bêtes noires des traducteurs étrangers qui travaillent vers leur langue maternelle. Le traducteur ayant été d’abord un apprenant, la faute nous incombe logiquement, nous, acteurs du FLE, qui redoutons la manipulation de ces, bien nommées pour le cas, « lexies complexes ». Les traducteurs de langues romanes voire germaniques se débrouillent malgré tout grâce à bon nombre de référents culturels partagés avec l’Hexagone mais il en est tout autre des Coréens qui les négocient, à leur insu, littéralement. Pour éviter les contresens et pire les non-sens, c’est dès le niveau A1 qu’il convient d’opérer un enseignement-apprentissage progressif et raisonné de locutions idiomatiques. « Progressif » parce qu’avant de manipuler les locutions dites « en filigrane », il est nécessaire d’avoir au préalable acquis des compétences linguistiques et culturelles conséquentes (« Choses promises chômedu !» = chose promise chose due + promesses non tenues de diminution du chômage en France). « Raisonné » car la phraséodidactique abhorre l’universalisme ; une locution jugée « facile » pour un public ne le sera pas nécessairement pour l’autre (« C’est une vraie tête de cochon ! » sera limpide pour un anglophone mais sera interprété autrement par un Coréen).
참고 자료
없음
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